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Baromètre cyclable : évaluez votre commune en Wallonie !

Le GRACQ lance cet automne la seconde édition de son grand baromètre cyclable. Jusqu'au 30 novembre, donnez votre avis sur la cyclabilité de votre commune !

Cette participation est anonyme, elle ne vous prendra que quelques minutes : Je participe au baromètre cyclable 2023

Les données récoltées permettront d’identifier les forces et faiblesses de chaque commune wallonne. Retrouvez les résultats et conclusions du baromètre cyclable 2021 (auquel vous avez peut-être participé !).

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A pied ou à vélo, pour votre sécurité, soyez visible

Dès le passage à l’heure d’hiver, nous sommes confrontés à une baisse brutale de luminosité aux heures de pointe. Ce manque de visibilité dans une circulation dense, une météo de saison et des réflexes de vigilance qui doivent encore être réinstallés, entraînent une augmentation du risque d’accidents, vulnérabilisant les piétons. C’est particulièrement le cas dans les semaines qui suivent le changement d’heure, et cela perdure durant toute la période hivernale.

Pour s’en prémunir, un spot TV sur un ton décalé, des affiches et des vidéos sur les réseaux sociaux, activés par l’AWSR, appelleront à se rendre visible lorsqu’il fait sombre pour se déplacer en sécurité.  

A l’heure de pointe du soir, le risque est maximum pour les piétons  

Après le changement d’heure, il fera très sombre aux heures de pointe du matin et du soir. Des moments lors desquels la circulation est dense et où s’ajoutent ponctuellement les conditions météo automnales, qui n’arrangent rien en termes de visibilité.

Cette baisse de luminosité expose tous les usagers au risque d’accidents, particulièrement les piétons. Ces derniers, souvent vêtus de vêtements foncés à cette période de l’année et surtout dans l’obscurité, ne sont en effet visibles qu’à 20 mètres dans les phares d’un automobiliste. Or à 50 km/h, 25 mètres sont déjà nécessaires pour arrêter une voiture, et il en faut même près de 40 sur sol mouillé.

Ainsi, chaque année, entre le mois d’octobre et le mois de novembre, le nombre d’accidents de piétons survenant aux heures de pointe augmente de 21%, une hausse qui se poursuit ensuite au mois décembre (+8%). L’heure de pointe du soir étant la plus risquée, on y enregistre en effet 2 fois plus d’accidents qu’à l’heure de pointe du matin.

Cyclistes : moins d’accidents, mais des conséquences plus graves  

Le manque de visibilité a également un impact sur les accidents à vélos. Alors que le nombre de collisions et de victimes cyclistes baisse comparé aux mois de printemps et d’été, la gravité des accidents, elle, augmente considérablement. En effet, aux heures de pointe de novembre, les accidents impliquant des cyclistes sont en moyenne 47% plus graves que ceux d’octobre.

Cela s’explique par le choc lié en partie aux difficultés à discerner ces usagers dans l’obscurité, provoquant un freinage tardif et une vitesse d’impact élevée lors des collisions. La vigilance sur les routes est donc de mise pour tous, particulièrement après les congés d’automne, première confrontation à l’obscurité lors des déplacements en heures de pointe pour de nombreux usagers.  

« Pour sortir, c’est tenue correcte exigée »  

C’est le bon moment pour agir, d’autant plus que la mobilité douce est en croissance sur nos routes. Cette année, l’AWSR assure dès lors avec force une grande campagne de sensibilisation. Largement diffusée en Wallonie, elle invite à se rendre visible lors de ses déplacements et à faire preuve de vigilance.  

Dès le 30/10, un spot TV sera diffusé sur les principales chaînes francophones. Il met en scène de façon décalée le rôle du vigile habituellement à l’entrée des boîtes de nuit, apte à décider qui peut y entrer.  

Durant le mois de novembre, cet ambassadeur sera également présent le long des routes pour appeler les automobilistes à la prudence. Et via des affiches en centres urbains et des vidéos sur les réseaux sociaux, il rappellera également aux piétons, cyclistes et trottinettistes que pour sortir, c’est tenue correcte exigée.  

Plus de 12.000 kits de visibilité offerts

Porter des accessoires rétroréfléchissants permet aux piétons et aux cyclistes d’être visibles à 150 mètres par les automobilistes, soit une distance 7 fois plus élevée qu’avec des vêtements sombres

Une récente enquête de l’AWSR révèle pourtant que de nombreux usagers ne s’équipent pas d’éléments de visibilité. A pied, 1 Wallon sur 5 (22 %) indique en effet ne pas porter d’accessoire pour être davantage visible lorsqu’il se déplace par faible luminosité. Parmi ceux qui s’équipent, seuls 49 % déclarent porter un vêtement ou un élément fluo ou réfléchissant et 1 sur 4 (24 %) une lampe d’appoint, des accessoires efficaces pour améliorer la visibilité. Les cyclistes semblent davantage conscients de la nécessité de s’équiper lorsqu’ils se déplacent dans l’obscurité. Seuls 2% d’entre eux déclarent en effet ne rien porter de particulier. Chez ces usagers, ce sont les lampes d’appoints, phares et feux qui sont les plus utilisés (84 %). 72 % déclarent porter un vêtement ou un accessoire fluo ou réfléchissant et/ou en avoir placé un sur leur vélo.  

 

 

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Jouez au quizz du routier

L’AWSR s’associe avec le secteur du transport pour la seconde édition du Quiz du Routier. Avec une nouveauté : la possibilité pour les entreprises de s’inscrire et de participer en équipe afin de contribuer à une mobilité plus sûre de leurs travailleurs.

Cette initiative permet aux conducteurs de poids lourds de tester et rafraîchir leurs connaissances du Code de la route en 10 questions avec des cadeaux à la clé si ils obtiennent au moins 7 sur 10 et répondent aux questions subsidiaires. L’année passée, plus de 7.300 quiz ont été finalisés !

Les chauffeurs sont invités à jouer au Quiz du Routier jusqu'au 30 juin.

Pour jouer, rendez-vous sur : https://www.quizduroutier.be/quiz/

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La « rue scolaire » instaurée dans la rue des Ecoles

Une première à Rixensart !

La Commune de Rixensart a le plaisir d’annoncer que la rue scolaire sera mise en œuvre, dans la rue des Écoles, dès ce lundi 22 mai 2023.

Si la rue scolaire est une mesure déjà bien établie à Bruxelles et en Flandre, elle n’en n’est qu’à ses débuts en Wallonie. Rixensart est l’une des premières communes à installer un système de barrières automatiques.

Pour rappel, la rue scolaire désigne une rue réservée temporairement aux piétons, aux cycles, ainsi qu’aux speed pedelecs. On l’instaure dans des rues situées à proximité immédiate d’un établissement scolaire. La rue est ainsi fermée à la circulation motorisée à certaines heures de la journée (entrée et/ou sortie d’école). La sortie de cette rue est toujours possible pour les véhicules motorisés, à allure du pas et en cédant la priorité aux usagers vulnérables. Attention tout de même, quelques rares usagers bénéficient d’une dérogation.

La rue scolaire de la rue des Écoles est programmée durant l’année scolaire, selon les horaires suivants :

  • Du lundi au vendredi de 8h à 8h45 ;
  • Le mercredi de 11h20 à 12h20.

Cette mesure a pour premier objectif de sécuriser les élèves et leurs parents. Mais elle contribue également à une mobilité plus durable, en incitant à utiliser d’autres moyens de déplacement.

Elle vise également à améliorer la qualité de l’air.

De plus, elle apporte une plus grande autonomie aux élèves, et leur permet de faire davantage d’exercice physique.

Pour les usagers qui ne peuvent se passer de la voiture, un recensement des parkings situés à proximité des écoles est repris sur le plan ci-dessous.

 

 

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Enquête d'opinion auprès des piétons de Belgique

Quasi 11 millions. C’est le nombre de piétons et piétonnes en Belgique, et c’est presque le seul chiffre que l’on connaît à leur sujet. Or les piétons et piétonnes représentent la plus grande communauté des gens qui se déplacent loin devant les cyclistes et les automobilistes.

Grâce au financement octroyé par le Service Public Fédéral Mobilité et Transports, Tous à Pied, Voetgangersbeweging et Walk (associations de promotion de la marche et de défense des piétons) lancent une grande enquête d'opinion auprès des piétonnes et piétons de Bruxelles, de Flandre et de Wallonie. 

Les piéton.ne.s sont interrogé.e.s autour d’une série d’indicateurs :

  • Les pratiques des Belges et leur ressenti global sur le quotidien de la marche,
  • La sécurité des déplacements à pied,
  • Le confort des déplacements à pied,
  • L’importance donnée aux déplacements à pied par les villes et communes,
  • Les aménagements et services spécifiques aux piétons.

Les résultats, attendus pour octobre 2023, vont permettre de mieux cerner les attentes et la diversité des besoins des citoyens qui souhaitent se déplacer à pied. C’est le premier pas vers une meilleure prise en compte, dans les politiques de mobilité et d'aménagement, de cette mobilité active majoritaire mais encore trop souvent ignorée.

L'enquête est disponible sur https://barometrepieton.be/

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Dépasser un cycliste

Communiqué de l'Agence Wallonne pour la Sécurité Routière (AWSR)

DÉPASSER UN CYCLISTE : 1 WALLON SUR 5 NE CONNAIT PAS LA DISTANCE À RESPECTER  

Sens unique limité, zone cyclable ou encore chaussée à voie centrale, depuis plusieurs années, le code de la route s’adapte pour faciliter la mobilité cycliste, de plus en plus fréquente.

Si ces nouvelles règles semblent maitrisées par la plupart des cyclistes, les autres usagers ne savent pas toujours comment se comporter dans certaines situations. Une nouvelle étude de l’AWSR1 révèle ainsi qu’1 Wallon sur 5 (21 %) ne sait pas quelle distance respecter lorsqu’il dépasse un cycliste en agglomération. Une méconnaissance qui peut provoquer des accidents.

En cette période printanière où les cyclistes sont davantage présents sur les routes, l’Agence wallonne pour la Sécurité routière lance une campagne de sensibilisation rappelant l’importance de garder ses distances quand on dépasse un cycliste. Sur les réseaux sociaux, l’AWSR expliquera également comment se comporter dans une zone cyclable, encore méconnue par plus d’1 conducteur sur 2.  

Moins de voiture, plus de vélo  

La mobilité douce a le vent en poupe et la crise économique n’a fait qu’amplifier cette tendance.  Selon l’étude de l’AWSR, 1 conducteur wallon sur 3 (32 %) utilise moins sa voiture depuis que les prix des carburants ont flambé. Ce changement de mobilité se fait notamment au profit du vélo. 11 % des Wallons déclarent en effet s’être mis au vélo en raison de la crise économique, et 12 % disent le pratiquer plus qu’avant.

Des coûts de carburant encore assez élevés et le retour des beaux jours favoriseront encore plus la pratique du vélo dans les prochaines semaines. Se poseront alors, malheureusement, certains problèmes de cohabitation entre cyclistes et automobilistes. 66 % des accidents de vélo ont en effet lieu au printemps et en été et dans la plupart des cas, il s’agit d’une collision avec une voiture (80 % des accidents de cyclistes avec un autre usager).   

1 conducteur sur 10 ne garde pas ses distances

Se faire frôler par une voiture, une situation que de nombreux cyclistes ont déjà expérimentée. Souvent cité par les deux-roues comme le comportement qui engendre le plus grand sentiment d’insécurité dans le trafic, c’est aussi une pratique dangereuse qui peut provoquer des accidents en déstabilisant le cycliste ou pire, en le percutant. En Wallonie, 14 % des accidents impliquant un cycliste et un autre usager concernent ainsi des collisions flanc contre flanc.

Pour éviter ce type de situations, le code de la route prévoit que, lors d’un dépassement, les conducteurs d’un véhicule automobile et les motards doivent laisser, entre leur véhicule et le cycliste ou cyclomotoriste, une distance latérale d’au moins 1m50 hors agglomération et d’au moins 1m en agglomération.

Si cette distance ne peut être respectée (voitures venant de face, présence d’une ligne blanche continue, etc.), il convient alors de freiner et d’attendre un petit peu, derrière le cycliste, avant de pouvoir dépasser en sécurité. Même si cela ne permet de gagner que quelques secondes sur un itinéraire en voiture, certains conducteurs décident tout de même de prendre le risque de dépasser et mettent alors le cycliste en danger. 1 conducteur wallon sur 10 déclare ainsi ne souvent pas respecter cette distance lorsqu’il dépasse un cycliste. Par ailleurs, 21 % des Wallons ne connaissent pas la distance à respecter en agglomération.  

Une question de respect mais surtout de sécurité  

Afin de rappeler quelle distance respecter et d’inciter tous les usagers à l’appliquer au quotidien sur la route, l’AWSR lance une nouvelle campagne de sensibilisation.  

Diffusée à la radio et sur une centaine de bus Tec pendant les mois d’avril et de mai, la campagne interpellera directement les automobilistes derrière leur volant. Elle rappellera que, dans la vie comme sur la route, garder ses distances est une question de respect mais lorsqu’on dépasse un cycliste ou un cyclomotoriste, c’est aussi et surtout, une question de sécurité, voire de survie dans certains cas.    

La zone cyclable pose des difficultés  

La campagne sera également présente sur les réseaux sociaux. Outre les distances de sécurité, l’AWSR veillera aussi à rappeler aux usagers de la route comment se comporter dans une rue cyclable, devenue « zone cyclable » depuis le 1er avril dernier (permettant ainsi d’élargir les règles spécifiques à plusieurs voies publiques).

Depuis 2019, le code de la route autorise les Villes et Communes à aménager ce type de rues, dans lesquelles des règles spécifiques à l’égard des cyclistes sont d’application afin de renforcer leur présence et favoriser leur sécurité.

  • Le cycliste est autorisé à utiliser toute la largeur de la voirie (pour les rues à sens unique) ou de la bande de circulation (pour les rues à double sens).
  • Les véhicules motorisés sont autorisés à circuler mais ne peuvent pas dépasser les cyclistes. 
  • La vitesse maximale est limitée à 30 km/h.  

L’étude de l’AWSR révèle que plus d’un conducteur wallon sur 2 (56%) n’en a jamais entendu parler. Sans surprise, les règles qui s’y appliquent ne sont pas non plus bien maîtrisées.  

Plus d’un Wallon sur 2 (54%) ne sait pas que les voitures ont le droit d’emprunter ce type de voirie. Près de 3 Wallons sur 5 (59%) ne savent pas que la vitesse y est limitée à 30 km/h et enfin, 1 conducteur sur 2 (47%) ne sait pas qu’il ne peut pas y dépasser un cycliste. Une méconnaissance de ces deux règles peut avoir un impact important sur la route, en étant source d’incompréhension et en amenant des problèmes de cohabitation entre usagers ou pire, en provoquant des accidents.  

L’AWSR veillera dès lors à sensibiliser les Wallons aux bons comportements à adopter dans une zone cyclable pour favoriser le partage de la route en toute sécurité.

 

1 1032 Wallons interrogés en mars 2023  

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Mobilité : Sondage sur les modes de déplacement

Comment vous déplacez-vous ?🚗🚲🛴🏍🚆🚍

Le service Mobilité vous invite à compléter un petit sondage dont l'objectif est de poser un diagnostic concernant les modes de déplacement utilisés par les habitants de la commune, soit pour se rendre au travail, soit dans le cadre privé. 

L’analyse des résultats aidera à prioriser les actions à mettre en place, par exemple pour optimiser l’offre en transports en commun ou pour améliorer le cheminement des modes actifs (marche, vélo).

Ce sondage vous prendra moins de 5 minutes et est accessible dans le e-guichet via le lien suivant : https://rixensart-formulaires.guichet-citoyen.be/mobilite/sondage-sur-les-modes-de-deplacement-2/.

Merci d'avance pour votre participation !

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